Le pitch de départ des « Puissants » signé Vic James, a titillé mon intérêt :
« Dans un pays gouverné par une caste aux pouvoirs surnaturels, chacun doit donner 10 ans de sa vie en esclavage ».
Nous sommes dans une sorte d’uchronie où l’histoire a été réécrite de sorte que les nouveaux rois et reines d’Angleterre sont des personnes ayant des pouvoirs extraordinaires leur conférant une autorité, un pouvoir sur les « sans dons ».
Je ne vais pas tourner autour du pot, cette trilogie est… (lire la suite).